L'HISTOIRE DU CANARI TIMBRADO
L'origine de notre Canari remonte au moment lui-même où on a commencé à apporter le canari sauvage en Espagne, concrètement à la Castille, entre fin du siècle XIV et débuts du XV. Le principal attrait du canari sauvage était son chant et dans cet aspect il faut supposer que sa sélection se centrerait depuis les débuts de son élevage en captivité.
Il y a Peu de données dont nous disposons sur les premiers canaris domestiques, mais avec le temps et, nous supposons, avec une sélection de ce qui est chanteur plus aptes, on a obtenu un type de canaris très évalué par son chant et qu'on appeler canari du Pays. Quelques zones sont citées comme foyers d'allaitement plus importants, entre elles Andalousie, Asturies et Catalogne. Spécialement célèbres qu'ont été les canaris de la localité catalane, auxquels on a décrit comme ceux-là « dont le chant méritoire était appréciée hors de nos frontières pour ne pas émettre de notes désagréables, des multitudes de variations bien vocalisées et modulées, dans un répertoire contrasté de tonalités diverses, dans lequel ils exprimaient des strophes complètes du chant de ce qui est rossignole émises avec une discrète sonorité et de sensibles tons de voix ».
Les premiers connaisseurs et soigneurs du canari été indigènes insulaires qui, depuis des siècles, étaient déjà enchantés par le chant harmonieux de cet oiseau qui logeaient dans ses maisons dans des cages artisanales de bois. Les premiers éleveurs ont été les moines, initialement par penchant et, plus tard, pour vérifier qu'il s'agissait d'une activité très lucrative. Vendaient seulement des mâles - à des prix prohibitifs pour le peuple pour empêcher l'élevage et la perte du monopole. On sait que, depuis 1291, ont commencé à arriver aux Iles Canaries diverses expéditions genovesas et, postérieurement, d'Aragonais et de majorquins. Cette époque est considérée comme date probable de la découverte du canari sauvage. Il peut être affirmé, en se basant sur des documents historiques, que l'introduction du canari dans le Vieux Continent remonte aux débuts du siècle XV, quand le noble normand Jean de Béthencourt (1360-1425), avec le marin français Gadifer de la SALLE, prendront une possession de quelques îles de l'archipel canarien au nom du roi castillan Enrique III. À leur retour au royaume, ils ont offert au souverain avec quelques exemplaires de ces oiseaux mélodieux que, en prenant la dénomination de leur lieu d'origine, ont été appelés des canaris. Également, en retournant en France, Béthencourt a offert à Isabel de Bavière, conjoint du roi Carlos VI, des canaris, qu'ils ont joui d'une grande acceptation. Quelques années plus tard, le fantassin portugais Enrique le Marin (1394-1460), a organisé diverses expéditions par la côte atlantique de l'Afrique, dans le but de trouver une route maritime à l'Inde et à l'Extrême Orient, pour établir de nouvelles relations commerciales hors du contrôle des commerçants arabes, qui jusqu'ici sortaient alors le bénéfice maximal de leur situation géographique privilégiée en percevant des impôts de toutes les marchandises qui passaient par leur territoire. En 1420 en expédition ils arrivent à l'île de Madère, depuis où le canari est introduit au Portugal. Depuis la péninsule, étant donné une demande chaque fois plus grande, les canaris commencent à être rapidement étendus dans le monde entier. Les croisements entre eux, les hybridations avec d'autres espèces ou les adaptations au nourrissement et climatiques, ils ont changé le patrimoine génétique original, de telle sorte qu'il existe actuellement une grande quantité de types de canaris et plus de deux cent variétés chromatiques différentes.
Le canari du Pays a été sur le point de disparaître étant donné une série de causes,les principales ont été :
1. L'apparition en Espagne des premiers canaris frisé importés, qui a été croisé avec ceux « du Pays » pour chercher des caractéristiques anatomiques plus proches aux canaris de posture (principalement augmentation de hauteur).
2. L'essor du Roller canarien, qui a fait que la plupart des faibles exemplaires purs « du Pays » qui restaient étaient croisé.
3. La Guerre Civile espagnole et ses conséquences désastreuses.
4. Pour quelques auteurs il a aussi diminué l'établissement des éleveurs du succès qu'ont atteint les canaris de « facteur rouge ».
Durant les années quarante un groupes d'amateurs madrilènes s'est proposé de récupérer l'ancienne race du Pays. Fruit de son travail a été qu'en 1950, on confectionne, basé celui du Roller canarien, le premier Code de Chant. En 1954 l'Association de Canari cultures espagnoles a confectionné un nouveau Code de Chant et a baptisé la race avec le nom Espagnol TIMBRADO
Le pas suivant a été de solliciter la reconnaissance internationale de la race, ce qui a été produit durant l'année 1956, à l'occasion « du IV Championnat Mondial de la C.I.C. », tenu à Barcelone. Le résultat n'a pas pu être plus décevant : la commission chargée d'évaluer la nouvelle race rejettant sa reconnaissance internationale pour la considérer par le fruit non épuré de croisements avec le Roller canarien.
Il a été à Bruxelles, durant l'année 1962, pendant le cours « du X Championnat Mondial de la C.O.M. », et à la demande de l'A.C.E., quand on a reconnu enfin internationalement à l'Espagnol TIMBRADO.
On a beaucoup avancé depuis lors et nombreux ont été les Codes Chant et listes de mise en jugement qui se sont succédées ; échantillon évident enracine et de l'intérêt réveillé par le canari de Chant TIMBRADO Espagnol entre le penchant espagnol.
les personnes qui on découvert et importer les canaris en europe

gravure de l'expédition aux iles canaries

Texte de Deleria Roman


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